L’ALLÉE DES BAOBABS

Cap au sud a madagascar 1

Liste des Espèces
Adansonia digitata L. — baobab africain
Adansonia grandidieri Baill.— baobab de Grandidier
Adansonia gregorii F.Muell — baobab australien
Adansonia madagascariensis Baill.
Adansonia perrieri Capuron —baobab de Perrier
Adansonia rubrostipa Jum. & H.Perrier
Adansonia suarezensis H.Perrier — baobab de Suarez
Adansonia za Baill. — baobab za

Allee des baobabs 1

Notre Suggestion
Pour profiter pleinement de la beauté unique de l'allée des baobabs.
Il faut s'y rendre l'après-midi vers 15 heures pour pouvoir visiter au préalable les baobabs géants endémiques se trouvant aux alentours et sur la route qui mène vers ce lieu magique, avant d'assister et savourer le magnifique coucher du soleil.
Un rendez-vous incontournable pour tous les touristes et les vacanciers locaux.



L allee des baobabs 1

Baobab amoureux marofandilia

L’allée des baobabs ou avenue des baobabs est un groupe de baobabs qui bordent la route de terre entre Morondava et Belon'i Tsiribihina dans la région de Menabe dans l'ouest de Madagascar. C'est une zone protégée depuis 2007.

Cet ensemble spectaculaire constitue une attraction touristique notoire et c'est l'un des sites les plus visités de la région et de Madagascar.

Sa conservation fait l'objet d'efforts locaux avec notamment une protection temporaire en juillet 2007 par le ministère de l'Environnement, des Eaux et Forêts, qui est la première étape vers la classification de « monument national » à Madagascar.

Une douzaine d'arbres de 30 mètres de hauteur bordent cette avenue, de l'espèce Adansonia grandidieri, endémique de Madagascar. Les baobabs, vieux de plus de 800 ans, connus localement sous le nom de renala (malgache pour "mère de la forêt"), sont un héritage des forêts tropicales denses qui ont prospéré à Madagascar.

Les arbres n'ont pas grandi isolément dans ce paysage sec et broussailleux mais ont fait partie d'une forêt dense aujourd'hui disparue (il ne reste plus que 20 % de forêts primaires aujourd'hui dans le pays).
Au fil des années, avec l'augmentation de la population du pays, les forêts ont été abattues pour l'agriculture, laissant seulement les baobabs, que les locaux préservent aussi bien par respect que pour leur valeur en tant que source de nourriture et matériaux de constructions.

Cet espace n'est pas un parc national, et les arbres sont menacés par la déforestation, les effluents des rizières et des plantations de canne à sucre, et les feux de broussailles et de forêts.

Malgré sa popularité comme destination touristique, ce site n'a pas de centre d'accueil des visiteurs ni de droit d'entrée et les résidents locaux ne perçoivent que très peu de revenus du tourisme.

Conservation International, en partenariat avec Fanamby, une ONG malgache, a lancé un projet d'écotourisme ayant pour but la conservation de l'endroit et l'amélioration des conditions économiques pour la communauté locale.

Source | Wikipedia |
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